OUVRAGE : LE POUVOIR DES OBJECTIFS
Réussir sa vie et réussir dans la vie

Editions CBRLABELS 2017 – Abidjan (Côte d’Ivoire)

Auteur : Jean Claude Mandéasso

LE POUVOIR DES OBJECTIFS

CBRLabels – 2017
Tous droits de reproduction ; d’adaptation et de traduction, intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN 978-0-244-93711-9
Dépôt légal 4ème trimestre
© TIEDE Jean Claude
L’auteur de l’ouvrage est seul propriétaire des droits et responsable du contenu dudit ouvrage

Version révisée et adaptée en Mai 2020 par l’auteur

DEDICACE

A mon très cher ami et frère Traoré SANAN avec qui je partage l’essentiel de mon temps et dont le rêve est de nous voir parvenir à un idéal accompli.
A mon fils Ange Daniel, qui m’inspire au quotidien.
A mes partenaires du groupe LOCI, messieurs KOUADIO Franck et MIESSAN Lucien.
A mon père, monsieur TIEDE Parfait, administrateur, chef d’entreprise, qui est pour moi un véritable modèle en négociation et entrepreneuriat, de par son énergie débordante et intarissable.
A ma génitrice Dié Ivonne et ma mère adoptive Pénan Thérèse.
A tous ces auditeurs, étudiants et managers, partout dans le monde, qui me sollicitent pour leur encadrement.
A toutes ces personnes, j’aimerais dire grand merci, à tous ceux qui me lisent dans mes ouvrages, mes formations, mes programmes de coaching ou sur les réseaux sociaux, bon courage à vous et que cette œuvre vous aide à réaliser vos objectifs.

QUI DOIT LIRE CET OUVRAGE (LE POUVOIR DES OBJECTITFS) ?

Pour répondre à cette interrogation, nous disons simplement : qui veut réussir se donne les moyens de réussite et qui veut échouer s’en donne également.
Nous donnons ici la possibilité à toute personne désireuse de réussir, et avoir une vie pleinement épanouie, de maitriser les préalables pour l’accomplissement de gros exploits.
Vous y trouverez des modèles et des outils assez pratiques qui vous permettront de vous fixer des objectifs précis à réaliser certainement.
En termes réels, toute personne désireuse de se réaliser, se doit d’obtenir ce support, quelle que soit votre qualification ou profession.

PREFACE

Dans la vie active, dans ses diverses composantes, tout le monde souhaite se développer, réussir sa vie et réussir dans la vie.
Réussir sa vie et réussir dans la vie bien qu’ayant une même finalité, c’est-à-dire ”réussir”, il faut à tout le moins dire que ces deux termes ou ces deux visions sont très différentes. Car la première : “réussir sa vie” concerne un aspect très partiel tandis que la seconde : ” réussir dans la vie” relève de l’absolu.
Pour réussir il faut avoir des objectifs, avoir une vision claire. Tout le monde, tout être humain voudrait réussir, mais la difficulté réside dans la méthode à adopter ou la manière de faire pour y arriver.

Bonne lecture

Titre I : LE POUVOIR DE L’OBJECTIF

L’objectif est une finalité que l’on souhaiterait atteindre. Ainsi, pour sa réalisation, elle (la finalité) nous donne l’énergie qu’il nous faut.
Lorsque nous nous fixons un objectif, immédiatement ce dernier nous donne une ouverture d’esprit nécessaire à sa réalisation. En plus de l’ouverture d’esprit, l’objectif nous amène à avoir, à manifester et à développer un immense potentiel pour son accomplissement.
Notre niveau de réussite dans la vie est fonction de celui de l’objectif que nous nous fixons :
Si notre objectif est petit, le niveau de réussite dans la vie sera proportionnel.
Ainsi, réussir sa vie demande que l’on se fixe des objectifs en rapport avec des aspects que nous souhaitons voir évoluer dans notre vie. Et réussir dans la vie demande une dimension plus grande, un élan plus grand, une vision plus importante. Il faut surtout avoir des objectifs extraordinaires ou ”fous” au point où personne ne croirait que la réalisation soit possible. Il faut que vous-même soyez effrayé par la taille de votre objectif ou de vos rêves.

L’objectif modifie nos habitudes, il nous amène à adopter un comportement nouveau, une attitude nouvelle. Aussi nous amène-t-il à développer nos compétences. Un autre aspect non le moindre est que l’objectif est susceptible de modifier notre attitude. Or le principe de base dans le développement est que “notre attitude détermine notre aptitude à prendre de l’altitude” en d’autres termes notre manière de voir les choses démontre de notre capacité à évoluer.
Un objectif est parfait lorsqu’il a pour fonction la modification de nos habitudes, de nos compétences et de notre attitude dans la vie. Un objectif nous amène à adopter l’attitude qu’il faut pour prendre de l’altitude.
C’est à la manière dont nous voyons les choses que nous nous fixons des objectifs et c’est également à cette manière que nous nous développons. Cela dit, celui qui voit de petites choses ne peut se développer à la même enseigne que celui qui les voit plus grandes.
Tous ceux qui réussissent véritablement sont ceux qui se sont fixés de véritables objectifs et qui ont été transformés par ces derniers.
Sans objectifs spécifiques on ne peut prétendre à une quelconque réussite.

Aucune réussite ne s’obtient sans discipline particulière. L’objectif constitue le levier de la réussite, voire le moteur. Si nous sommes dans le domaine de la téléphonie nous dirons que l’objectif est en fait le réseau. Car sans ce dernier l’on ne peut établir la connexion. Certes l’on me dira l’objectif c’est la finalité, c’est établir la connexion, mais en réalité je parle ici du pouvoir de l’objectif qui alimente nos actions et nous amène à la réussite. Donc en ces termes, il faut d’abord qu’il y ait le réseau afin d’établir la connexion. Celui qui se donnera pour objectif de travailler à établir le réseau, sera celui-là vérifiera en premier si la connexion est établie. Cela dit, il sera toujours à même d’atteindre la finalité. Le pouvoir que l’objectif aura ici, c’est de donner à l’individu les outils et les compétences nécessaires pour la réalisation ou l’accomplissement de ce qu’il s’est assigné.
L’on pourrait confier la construction d’un bâtiment de type R+4 à un individu. En principe lorsque ce dernier se donne de livrer le bâtiment après finition de tous détails, il se verra capable ou il disposera de l’énergie qu’il faut pour faire la construction, la peinture, l’électrification, la plomberie, le carrelage. Mais, lorsque ce dernier se dit capable de faire juste la construction sans les autres éléments, immédiatement cet objectif ajuste ses compétences ou ses

capacités à ce qu’il a défini comme objectif. Même en faisant tous les efforts pour parvenir au premier résultat, l’énergie serait insuffisante pour la réalisation et ce serait un vrai désastre ou une catastrophe qu’il sera en cours de mettre sur pieds.
En fonction de ce dont il s’est senti capable, l’objectif qu’il s’est fixé lui donnera la force ou l’énergie requise pour la réalisation.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Quelles actions je dois poser dès maintenant ?
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Titre II : OBJECTIF = AUTO-FORMATION

Comme souligné dans le titre un : l’objectif modifie nos habitudes. Ici, nous irons plus loin pour dire que l’objectif modifie notre personne. Il nous fait passer de l’étape de personne à l’étape de personnalité.
L’objectif nous forme, il nous amène à nous former afin de développer le potentiel nécessaire à sa réalisation.
En réalité lorsque nous nous fixons des objectifs, aussitôt apparaissent certaines capacités et en fonction de notre objectif, nous développons celles-ci.
Au même titre qu’une discipline personnelle, l’objectif nous amène à nous entraîner chaque jour. C’est-à-dire pour celui qui a un objectif ; il y a toujours quelque chose de similaire ou de différent à faire pour aller vers une entité ou pour s’éloigner d’une autre.
Par principe, on ne naît pas champion, on le devient tout simplement.
Cela revient à dire que nous devons développer nos capacités pour réaliser l’objectif que nous nous fixons.
L’objectif nous amènera toujours sur les terrains de combats les plus terribles afin de nous former : difficultés, échecs, abandons, rejets, solitude etc.

Ainsi, la condition de réussite c’est d’abord et avant tout “l’apprentissage” de certaines règles et principes de réussite. Réussir c’est d’abord se donner un objectif et la suite consiste à se former ou s’entrainer à sa réalisation.
En matière d’objectif, la formation est un processus de transformation. Une personne qui se forme comme il se doit pour réussir son objectif se développe au fur et à mesure que le niveau d’objectif évolue.
Lorsque l’on met tout en œuvre pour réussir un objectif, il s’en suit une profonde transformation très souvent radicale qui nous amène à voir les choses différemment. A ne pas observer ou analyser sous le même angle que les autres.
Accepter d’être transformé par son objectif c’est accepter et s’ouvrir à la réussite. C’est aussi accepter la réalisation de soi et de tout autour de nous.
Se fixer un objectif détermine notre volonté à changer de personnalité, à évoluer et changer de mentalité, à ne pas croire que les choses sont figées ou que rien ne peut changer dans la vie ou dans la nôtre. Aussi, cela nous donne de quitter la mentalité d’arbre : planté au même endroit : sec ou humide, aéré ou exigu, commode ou pénible, sans bouger, car synonyme de déracinement, de mort ou de

disparition. Et qui pourtant fini par disparaitre sans un bon spectaculaire.
Vous êtes un homme, mieux, vous êtes un guerrier, un champion qui a des batailles à remporter, des médailles à collecter, des tournois à gagner. Vous devez bouger, évoluer, changer, vous développer et atteindre l’idéal de vie meilleure.
Pour y parvenir, dès l’instant fixez-vous un objectif, pas besoin d’autre chose ou de rechercher un miracle. Seul votre objectif vous donnera la stratégie pour l’atteindre.
Mettez-vous en tête : objectif. O : Orientation vers un
B : But en
J : Jumelant E : Efficacité C : Créativité T : Technicité
I : Innovation et F : Faisabilité
Il s’agit donc d’une Orientation vers un But en Jumelant Efficacité Créativité Technicité et Faisabilité.

En parlant d’objectif comme but, cela nous amène à dire qu’il s’agit bien de quelque chose de réalisable avec les moyens dont nous disposons et des capacités que l’objectif crée en nous.
A défaut de nous donner tous les moyens nécessaires, l’objectif nous donnera toujours l’énergie qu’il faut ou les facultés intellectuelles d’explorer différentes possibilités d’orientation vers la finalité réelle. Ainsi, à défaut de disposer des ressources de financement pour son projet, l’objectif va créer chez l’entrepreneur une ouverture d’esprit pour trouver et explorer différentes stratégies pour financer son initiative. L’objectif pourra l’amener à savoir saisir les moments kaïros.
L’objectif conduira dans la même mouvance un chef d’entreprise à choisir des actions prioritaires dans la gestion de sa structure. L’objectif lui enseignera par exemple en quoi ce qui est urgent n’est pas important mais ce qui est important est urgent.
Ainsi, se trouvant confronté à un dilemme : s’offrir des vacances à l’étranger ou payer à son personnel un bonus pour plus-value dans la production ou la qualité des services, l’employeur qui a une petite vision s’offrira l’urgence avec les moyens déjà obtenus.

Par contre s’il a une grande vision, il optera pour la réalisation de l’important, car se disant si cela est fait il pourra autant de fois réaliser ce qui est urgent : c’est-à-dire voyager.
Il donnera des bonus pour stimuler les travailleurs qui produiront encore et encore de plus gros résultats.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Quelles actions je dois poser dès maintenant ?
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Me suis-je une fois fixé un objectif ? Oui☐ Non☐
Ai-je réussi à l’atteindre ?
Si oui, comment je m’y suis pris(e) ?
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………………………………………………………………………………………… Si non, qu’est-ce qui n’a pas marché et à quel niveau ?
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…………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………… Pourquoi ça n’a pas marché ?
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……………………………………………………………………………………….. Suis-je à présent prêt pour reprendre ou pour passer à un autre objectif ?
Oui☐ Non☐

Titre III : INTERACTION OBJECTIF – LES QUATRE “S”

Nous savons ce qu’est un objectif à savoir une finalité que l’on souhaiterait atteindre. Ici, nous donnerons une définition plus spécifique. C’est-à-dire une définition axée sur sa particularité. Cela va mieux nous situer dans un contexte objectif. Cette particularité que nous savons d’ailleurs pour la plupart d’entre nous lecteurs et apprenants.
Nous avons tous entendu parler, au moins une fois au passage ou dans notre quotidien du principe S.M.A.R.T qui se lit SMART.
En effet la particularité d’un objectif est qu’il est SMART. Spécifique : il s’agit de quelque chose de précis que l’on souhaite atteindre, obtenir ou développer ; un résultat net, une vision claire ; un point clé.
Mesurable : un objectif a une quantité, une qualité, un niveau souhaitable sur la base des indicateurs bien précis. Accessible : Tenant compte de nos capacités, c’est une chose qui devrait être possible à atteindre.
Réalisable : c’est quelque chose de réaliste et non imaginaire ou abstrait. Cela fait toujours appelle à vos possibilités, à vos disponibilités en ressources temps,

ressources financières, ressources psychologiques, et autres ressources selon le type d’objectifs.
Temporaire : un objectif est toujours circonscrit dans un temps ou un délai précis. A défaut, il s’agit simplement d’un rêve.
Ce dernier élément nous donne de façon apodictique la différence entre un objectif et un rêve. Nous y reviendrons plus tard.
Il avance un principe intéressant à explorer : il s’agit des différents niveaux d’objectifs.
En fonction du temps que nous définissons à chaque objectif, nous aurons ceux du court terme, certains de moyen terme et d’autres de long terme.
Ainsi, un homme à priori normal a également trois catégories d’objectifs :
• Les objectifs annuels : qui sont ceux que nous souhaiterions réaliser chaque année.
• Les objectifs en début de carrière ou objectif de lancement : qui sont fixés au début d’une phase ou d’un projet et généralement pour les individus, ce qu’ils souhaiteraient réaliser dans l’intervalle d’âge de vingt-cinq à quarante.

• Enfin, les objectifs stratégiques : qui se décident et portent sur le long terme ou la stratégie globale et donc difficile à clarifier ou à dresser un schéma clair vu les aléas de la vie. Pour un homme, il s’agira d’un projet de toute une carrière ou de toute une vie. Ils sont définis dans certains cas à l’adolescence, dans d’autres, à l’âge adulte, et projettent toutefois l’individu vers son avenir, entre cinquante et soixante ans voire plus selon l’espérance de vie qu’il imagine avoir.
Ce dernier critère assez pertinent de mesure ou de détermination de l’objectif n’est valide que lorsque l’on est convaincu de nos attentes (spécifique), de la quantité, de la qualité ou à tout le moins de la proportion souhaitée (mesurable), lorsque l’on a la capacité ou l’aptitude nécessaire à la réalisation (accessible), que l’objectif est possible à déployer et ne relève pas d’une impossibilité notoire (réalisable) et en combien de temps ou quel délai l’on se donne pour le réaliser (temporaire). Cet ensemble nous donne SMART.
Avoir un objectif rime avec la connaissance de ce que l’on souhaite réaliser, la connaissance de nos capacités et la connaissance du temps nécessaire à la réalisation.

Avoir un objectif nous exige la détermination, une maîtrise des principes interactifs.
Ainsi, les quatre “S” constituent des axiomes très importants pour réaliser tout objectif.
Le premier “S” désigne les SAVOIRS : il s’agit de l’ensemble de connaissances que nous avons acquises ou avec lesquelles nous sommes nés et que nous utilisons pour nous assurer une évolution psychoaffective ou intellectuelle. Ainsi, en psychologie générale, l’on affirme que nous sommes un ensemble de programmes. Donc face à chacune des situations sociales, nous développons un programme nouveau, ou nous exploitons un qui existerait déjà dans nos méta-programmes. Ainsi, on aura dans la vie certains qui ont des capacités surnaturelles à développer des solutions.
Pour ne pas se perdre dans l’univers de la psychologie et perturber les lecteurs, nous allons rester concentrés sur notre principe d’objectif.
En fonction de la taille ou de la dimension de notre objectif, nous sommes amenés à avoir le savoir ou la connaissance qu’il faut. Cela veut dire plus notre objectif est grand plus les connaissances ou le savoir se développe. Si l’objectif est petit, il ne nécessitera pas de grandes connaissances et il ne

pourra développer notre savoir qu’à proportion équivalente.

Le second “S” est le SAVOIRFAIRE, il s’agit de nos capacités, de ce que nous savons faire ; c’est la mise en pratique de nos savoirs. Le savoir-faire émane de nos savoirs ou connaissances. Ainsi, lorsqu’on ne dispose pas d’assez de connaissance ou de savoirs, on ne saura en aucun cas faire assez. Le manque de connaissance à pour effets : la médiocrité, l’incapacité, la nervosité, l’oubli répétitif, l’aigreur…
Ici, nous ne faisons pas allusion aux connaissances académiques de façon exclusive mais à tous types de connaissances. Quand on ne sait pas assez, notre savoir- faire est toujours et reste insignifiant jusqu’à ce que nous développions nos savoirs. Quand on sait beaucoup, l’on a beaucoup à faire. La meilleure manière de faire c’est de chercher plus de savoirs. Atteindre une maturité psychologique aide au développement de la maturité technique.

Le troisième “S” c’est le SAVOIR-ETRE : c’est-à-dire notre comportement, nos habitudes, notre personnalité.

En réalité, nos savoirs nous amènent à être la personne que nous devons être. Plus on sait, mieux on est façonné ou transformé et plus on est affirmé. Le monde n’a rien à faire de notre personne, c’est notre personnalité qui intéresse l’humanité. Nos apports et nos résultats sont les centres d’intérêts privilégiés et non notre personne. La vie s’intéresse à ce que nous sommes susceptibles d’apporter ou de devenir pour le bien-être et l’harmonie de la nature. Donc si nous ne savons rien qui puisse nous donner la personnalité qu’il faut, le monde ne s’intéressera pas à nous.

Le quatrième “S” qui constitue notre dernière variable d’évaluation est le SAVOIR-FAIRE-FAIRE : cela représente notre capacité à transférer nos expériences ; nos savoirs. Donc si nous suivons la procédure, nous avons au départ le savoir qui représente les connaissances, ensuite le savoir- faire qui est la mise en pratique des connaissances ou de notre savoir, après quoi vient le savoir-être qui est l’affirmation de soi et enfin le savoir-faire-faire qui est le transfert des connaissances, des capacités et de la personnalité. Ces différentes variables existent en chaque être humain et sont modifiables en fonction de l’objectif.

Ils représentent par ailleurs des outils dans la réalisation de nos objectifs.
Chercher à se définir un objectif demande de savoir dans un premier temps l’état de nos connaissances.
Ensuite nos capacités à mettre ces connaissances en application.
Aussi notre capacité à être transformé par nos connaissances, et notre expérience pratique pour être un métamodèle.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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………………………………………………………………………………………… Ai-je compris la dimension de réalisation des objectifs et les différentes interactions ?
Oui☐ Non☐

Qu’est-ce que je m’engage à faire dès maintenant ?
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Titre IV : OBJECTIF ET BUT

Si nous ne parlions pas d’objectif, nous aborderions tout d’abord du but. Mais logique oblige, nous traiterons dans un premier temps de l’objectif.
Comme vu plus haut, un objectif est clair, précis ou spécifique. Contrairement à la croyance populaire, un objectif est un ensemble de buts, sinon une finalisation de plusieurs buts. Cela revient à dire qu’un but est une séquence de l’objectif. Et plusieurs buts assemblés nous donnent un objectif. Le but est l’opérationnalisation de l’objectif.
Partant, l’objectif est l’accomplissement de différentes opérations.
Etablir la différence entre objectif et but donnerait du fil à retordre à plus d’un, ce qui rend alors la réalisation de l’objectif très complexe. Car pour mettre une chose en exergue et la réussir parfaitement, il est impératif de la connaître, voire la maîtriser ; Savoir les différentes étapes ou séquences qu’elle comporte. Etc.
Comme annoncé sommairement, un homme doit avoir trois types ou trois niveaux d’objectifs.
Le premier niveau ou type d’objectif :

Objectif annuel : il est déterminé pour l’année en cours.
De façon générale, nous nous mettons de manière intuitive à dresser des bilans chaque fin d’année, le plus souvent durant le mois de décembre. Cela répond à ce premier niveau d’objectif qui dure sur douze mois. En pratique l’on devrait faire le bilan en décembre lorsque nous déployons la mise en œuvre de nos différents buts ou de l’objectif dès le premier mois de l’année.
Ainsi, le bilan est pour décembre de l’année x lorsque nous commençons les actions dès janvier de la même année. Si par contre, les actions débutent en février de l’année x, cela implique que le bilan devrait se faire en janvier x+1 : c’est- à-dire l’année suivante et ainsi de suite. Mais en règle générale il est recommandé de commencer en janvier afin d’éviter les rebondissements ou les décalages calendaires. En effet, plusieurs facteurs exogènes jouent sur la réalisation des objectifs, d’où l’importance de définir et déployer les actions dès le premier mois de l’année à savoir janvier (par convention universelle). A titre de rappel cet objectif doit-être réaliste et l’on doit se donner toute l’année pour sa réalisation car il ne faut jamais sous-estimer un objectif, aussi petit paraitrait-il.

Le second type ou le second niveau d’objectif est celui qui porte sur les trois années à venir. C’est-à-dire dès l’année x l’on devrait déterminer l’objectif pour l’année x+3 ou pour les trois années à venir.
Nous comprenons tous ensemble que l’objectif des trois années à venir est en réalité plusieurs objectifs annuels à défaut, il s’agit de la prédéfinition et l’assemblage des objectifs pour chaque année sur trois ans. Donc si chaque année nous nous fixons un objectif et que nous le réalisons, nous constaterons qu’au bout de trois années nous aurons achevé l’objectif prédéfini il y a trois années de cela. Le principe est qu’en réalisant celui de la première année, il nous rapproche de celui de l’année suivante, en réalisant ce dernier, il nous rapproche de celui de la troisième année. Le résultat sera donc visible dès la fin des trois années.
Déjà nous observons que pour une existence pleinement épanouie nous devons avoir un objectif annuel, ensuite un autre sur les trois années à venir ; il faut enfin ajouter le troisième type ou le troisième niveau d’objectif qui est plus stratégique ou global car portant sur la réalisation complète de soi : c’est l’objectif pour l’intervalle d’âge futur : entre quarante et soixante voire plus. Sa durée de réalisation

varie entre cinq et vingt ans et donc fonction de l’âge actuel de celui qui se fixe un tel type d’objectif.
Ainsi, si nous avons vingt ans par exemple, il s’agira de l’objectif pour peut-être les vingt années à venir, et si nous avons trente ans alors il s’agira de l’objectif pour les dix années à venir. Nous prenons quarante ans comme âge médian de l’accomplissement. Toutefois, cette approche varie selon plusieurs situations sociales.
En somme, l’on doit être à mesure de se fixer un objectif pour son âge de quarante ou cinquante ans.
En pratique, nous verrons que si chaque année, il y a un objectif à atteindre, au bout de trois années nous aurons réalisé celui que nous nous étions fixés pour cette période. Et si dans la continuité, toutes les trois années nous réalisons ce qui est à faire, il est naturel qu’à quarante ou cinquante ans l’on est atteint ce que nous avions défini beaucoup plus jeune : cinq, dix ou vingt années en arrière. Une fois que nous avons ces trois niveaux d’objectifs, la probabilité de réussite devient alors de plus en plus évidente et beaucoup plus grande.
La chance d’échouer est plus élevée lorsque l’on ne prévoit pas ce qui sera fait au quotidien et ensuite dans les jours, les mois ou les années qui suivent.

Nous devons avoir des buts quotidiens et utiliser le temps, nos connaissances, nos capacités pour les réaliser à défaut l’on s’expose à une incertitude qui aura pour conséquence pure et simple le retard ou l’échec.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Existe-t-il une différence entre un objectif et un but ? Oui☐ Non☐

Etablissez la différence entre objectif et but ?
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Quelles actions je pose dès maintenant ?
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Titre V : OBJECTIF ET REVE

Dans notre vie quotidienne nous passons deux à trois quarts de notre temps à nous poser des questions :
Pourquoi ça ne marche toujours pas pour moi ?
Pourquoi je ne parviens toujours pas à obtenir tel ou cela ? Pourquoi, pourquoi et pourquoi ? Et j’en passe. Au lieu de toutes ces interrogations, nous devrions nous demander que faisons-nous plus ou mieux pour que ça marche ?
A défaut que faisons-nous pour que ce que nous souhaitons arrive ?
Nous posons toujours des questions, mais pas les bonnes. Ce qu’il faut savoir c’est que la nature obéit à des lois. Donc pour réussir il y a des axiomes, de même que pour échouer. Combien d’entre nous se posent la question de savoir comment faire pour obtenir ce qu’elles recherchent ; mieux, combien se demandent si elles emploient la bonne méthode afin de réussir et donc de ne pas échouer ?
Combien sommes-nous à remettre nos métamodèles en cause et à rechercher les meilleures formules de réussites ? Ce que nous devons savoir c’est que l’échec est un signal annonçant que nous avons dû mal aborder la chose ou que nous devons procéder autrement la prochaine fois.

L’échec se prépare au même titre que la réussite. Ainsi, en posant certaines actions, pas besoin d’être devin pour savoir que ceux-ci se solderont par l’échec. Les mauvais stimuli donneront toujours le même résultat négatif. Beaucoup veulent réussir mais nous ne nous imposons pas les bases de la réussite.
Nous ne cherchons pas à vérifier si nous avons un objectif ou un rêve. Nous ne cherchons pas à soustraire l’objectif du rêve.
Certes, le rêve est important car il détermine le niveau ou les exploits virtuels auxquels nous aspirons. Cependant, pour la réalisation, il faut descendre des nuages et avoir ou se fixer un objectif. C’est-à-dire quelque chose de SMART : spécifique, mesurable, accessible, réalisable et temporaire. En réalité, lorsque nous nous fixons un temps de réalisation, ce dernier bien qu’étant un indicateur qui nous permet de mesurer le niveau auquel nous sommes dans l’accomplissement de l’objectif, il est également un moyen de pression. Car nous n’avons toujours pas suffisamment le temps nécessaire. Cela veut dire que le temps joue toujours contre nous. Nous constaterons que le temps est très court et que les heures, les jours, les mois et les années avancent très vite et ne nous laissent aucun moment de répit.

Nous avons donc intérêt à y aller très vite et plus vite que prévu. Nous devons faire les choses plus tôt, nous devons anticiper sur des actions afin d’être dans le temps pour réaliser notre objectif.
Nous venons d’étudier un indicateur assez important qui permet de faire la différence entre un objectif et un rêve. En résumé, à tout objectif est associé un délai. Donc un objectif sans délai associé, ni spécificité n’est qu’un rêve. Et beaucoup d’entre nous avons des rêves, sans chercher à les traduire en objectif.
Pour plus d’un, à la question quel est ton objectif, nous répondons :
“Mon objectif est d’avoir un boulot”
“Mon objectif c’est avoir ou créer ma propre entreprise” “Mon objectif est de construire ma maison”…
Autant de rêves que d’objectifs réels. Mais quelqu’un qui répond :
“Mon objectif c’est occupé tel emploi dans l’entreprise x d’ici six mois”
“Mon objectif c’est de créer mon entreprise de construction dans deux ans”…
Nous voyons de façon générale que cette personne a un objectif et prendra toutes les dispositions spécifiques pour

réaliser sa vision. Mieux, tout son être sera disposé, et son énergie sera focalisée vers l’accomplissement de cet idéal. Cette personne aura la pression par rapport au délai qu’elle s’est fixée, la grandeur ou le niveau de son objectif, la spécificité de son objectif la conduira à le réaliser. Tous ces éléments lui donneront l’énergie ou le pouvoir qu’il faut pour l’accomplir.
Par contre dans le premier cas, c’est-à-dire celui où nous n’avons pas de délai, ni de spécificité, nous n’avons aucune pression et l’on dispose de tout le temps or cela ne peut jamais être possible.
L’objectif exigera plus de vous que le rêve.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
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Existe-t-il une différence entre un objectif et un rêve ? Oui☐ Non☐

Etablissez la différence entre objectif et rêve ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
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Quelles actions je pose dès maintenant ?
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
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…………………………………………………………………………………………
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Suis-je désormais à mesure de me définir un objectif ? Oui☐ Non☐

Quel est mon rêve ?
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Quel est mon objectif ?
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Titre VI : LE PRINCIPE QCD ET L’OBJECTIF

Notre première interrogation est de savoir ce qu’est le principe QCD.
En réalité, c’est une loi à laquelle il faut obéir lorsque nous nous fixons un objectif.
Q : Quantité ou Qualité C : Coût
D : Délai
Par observation approfondie, nous voyons que chaque fois le terme quantité ou qualité revient et nous ramène à la spécificité de l’objectif comme développé en entame.
En effet, lorsque nous nous fixons un objectif, il faut que celui-ci ait une proportion. Il s’agit donc de la quantité ou de la qualité ou des deux à la fois. Ce sont ces deux ou cette variable : quantité /qualité à réaliser qui va créer en nous l’énergie nécessaire à la réalisation de l’objectif.
Il s’agit d’un indicateur, une unité de mesure : le niveau de qualité à atteindre, la quantité ou le volume à réaliser ou encore à produire.
Une fois que nous déterminons cet indicateur, il a, dans le cadre d’un objectif, une double fonction : la première en tant qu’unité permettant de mesurer le niveau de

réalisation et la seconde en tant qu’élément de contrainte ou de pression. Ici, il intervient comme un stimulateur de pression pour nous dire, soit le niveau de qualité ou le niveau de quantité à réaliser est énorme donc nous devons nous y mettre plus vite.
Ensuite, le “C” qui est relatif au coût, traite des moyens qu’il nous faudra pour la réalisation de l’objectif.
La technique est de toujours rechercher une quantité ou une qualité supérieure, rechercher à réaliser plus avec très peu de moyens en très peu de temps.
+
Q C D
– –
Si nous nous donnons un délai élevé avec un coût élevé pour une quantité ou pour une qualité élevée, l’objectif risque de ne pas être réalisable.

Enfin, le “D” qui représente le délai évoqué en substance entre les précédentes lignes, traite du temps que nous allouons à la réalisation de l’objectif.
Nous devons tenir compte de toutes ces entités dans la définition de l’objectif.

Un objectif valable doit tenir compte du principe QCD. En plus de ces trois indicateurs nous devons associer une variable qui traite de notre personne, de notre énergie, car cela est aussi déterminant dans l’évaluation de la performance de l’objectif lui-même en tant que tel et dans notre survie qui est aussi fondamentale.
Il s’agit de : l’impact sur la cible.
Parler d’impact sur la cible revient à voir les résultats ou les effets de l’objectif sur celui qui le réalise.
Il faut de façon la plus objective possible, évaluer les effets tant positifs que négatifs de la réalisation de l’objectif sur notre vie et sur notre survie.
Cela permet de catégoriser les objectifs :
Les bons objectifs et les mauvais objectifs.
Donc un objectif, aussi important soit-il, lorsqu’il est facteur non pas de développement mais de régression, non pas de vie mais de mort, alors il est inutile à réaliser car il détruit l’énergie. Or un objectif donne toujours de l’énergie pour son accomplissement et nous maintient toujours en bonne disposition d’aller plus loin.
Un objectif qui nous dépense toute l’énergie, le résultat est toujours nul pour nous même. Il peut être profitable à autrui mais pas à nous.

L’objectif nous donne de l’énergie ou du pouvoir pour l’atteindre et une fois atteint, nous disposons toujours de ressources ou d’énergie pour célébrer notre succès. Si donc atteint, l’objectif nous vide de l’énergie obtenue, ce dernier n’aura qu’une finalité destructrice.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Comment je vais appliquer le principe QCD dans chacune de mes actions à venir ?
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Titre VII : LE PRINCIPE PDCA ET L’OBJECTIF

A ce stade du programme, nous verrons comment réaliser l’objectif fixé.
Cet outil est important car il nous permettra, à chacun de nous, de réaliser différents objectifs de la vie sociale.
En réalité, très peu de personnes appliquent les meilleures stratégies de réussite. Le tout n’est pas d’avoir simplement des objectifs, mais il est également idoine de déployer un ensemble de stratégies, de bonnes stratégies pour parvenir à la réalisation de l’objectif.
Parmi les modèles contemporains de réalisation, nous avons celui de : WILLIAM EDWARDS DEMING (1900 – 1993)
“le principe PDCA”.
Qu’appelle-t-on principe PDCA, à quoi sert-il, et comment nous devrions l’appliquer pour un développement certain ? La compréhension de toutes ces interrogations nous permet d’avoir une avancée considérable.
Le principe PDCA est un concept américain développé par
W. Edwards DEMING. Il est beaucoup fréquent en gestion de projets et en management par la qualité. Nous allons toujours rester connectés à notre contexte tout en reconnaissant le travail remarquable de l’auteur.

Le PDCA est un ensemble de verbes d’actions qui nous avancent vers la réalisation des objectifs. Il est important d’ajouter devant chaque action “to” qui est en principe associé à chaque verbe à l’infinitif en anglais.
Ainsi nous aurons To Plan : Planifier To Do : Faire
To Check : Controller To Act : Agir
Dans la première approche, lorsque nous avons un objectif, il ne faut pas certes perdre le temps, mais il ne faut pas non plus foncer comme un bulldozer. Car il ne faut jamais négliger la taille de la pierre enfoncée dans le sol. En clair, il ne faut pas seulement voir de façon apparente la situation ou ce qui est à résoudre.
Les difficultés s’enracinent de sorte à être assez solides. Ainsi, pour parvenir à résoudre ces situations nous devrions faire preuve de méthode.
Il faut donc prendre le temps et surtout planifier afin de définir les étapes précises de l’objectif.
Nous devrions savoir ce qu’il faut faire à chaque niveau ou séquence et nous devrions suivre chaque étape à la lettre.

Ensuite, après la planification, nous devons faire, c’est-à- dire mettre en œuvre ce que nous avons planifié. Car il ne faut pas également perdre de son temps dans la planification sans action. Planifier juste pour planifier sans pour autant agir c’est reculer. Autant ne pas avoir d’objectif que d’en avoir et ne rien planifier et mieux, ne pas faire ou encore agir dans le sens de la réalisation.
C’est en mettant en œuvre que nous sommes à mesure de savoir ce qui marche et ce qui ne marche pas, ce qui est simple et ce qui nécessite une planification plus affinée à nouveau.
Une fois que nous faisons ce qui est planifié, nous serons amenés à contrôler afin de voir le problème ou le niveau de la difficulté afin de choisir les mesures correctives qui s’imposent. Contrôler et voir ce qui a marché ou non est très important dans le processus de réalisation de l’objectif.
Contrôler nos actions ou nos objectifs, cela permet de prévoir des actions futures, de mettre sur pieds des stratégies d’anticipation. En outre, ça nous permet de corriger ou de faire autrement ce qui a valu l’échec ou le mauvais résultat. Une fois le contrôle terminé, nous savons de façon précise les actions à corriger ou à poser pour atteindre un niveau maximum ou la qualité souhaitée.

Enfin, les trois précédentes actions achevées : la planification, la mise en œuvre et le contrôle,
Il faut penser à agir (to Act) pour non seulement maintenir ce qui est déjà obtenu ou réalisé. Mais aussi il faut agir afin de corriger ce qui n’a pas marché.
Cela va se faire comme un processus de redémarrage en planifiant à nouveau ce qui n’a pas marché.
Nous devons alors mettre en œuvre les actions décidées, contrôler à nouveau encore et encore puis agir pour voir si certaines choses ont marché et d’autres non et ce processus nous le répétons jusqu’à la fin de l’objectif. Voici donc une technique à développer pour réaliser un objectif.

La seconde technique consiste à décomposer l’objectif afin de pouvoir le réaliser.
Nous recommandons quatre niveaux de décomposition. Le premier niveau à déterminer est plus global.
Dans l’ordre de l’accomplissement il s’agit du dernier niveau
: le niveau stratégique.
En clair, dans la décomposition nous allons du sommet vers la base et pour la mise en œuvre nous prendrons le sens inverse : de la base vers le sommet.

Très souvent, ce que nous souhaitons réaliser ou ce à quoi nous aspirons constitue en réalité l’objectif stratégique ; c’est-à-dire notre idéal, ce que nous souhaiterions atteindre en fin de compte.
Or par principe, nous ne pouvons pas passer de la première à la dernière étape en sautant les autres lorsque le processus comporte différentes phases cohérentes et logiques.
L’objectif stratégique constitue de ce fait la dernière phase dans ce processus de réalisation. Pour réaliser un objectif il est judicieux de quitter le niveau stratégique pour mieux le découvrir.
Un entrepreneur pourrait par exemple avoir besoin d’un financement sur fonds propres pour dix millions ou plus afin d’investir dans son projet. Certain montants étant difficiles à obtenir en un trait ou cash, il sera donc amené à décomposer cet objectif stratégique, en objectif projet ensuite en objectif intermédiaire et enfin, en objectif opérationnel.
En supposant qu’il faudra obtenir cette somme de dix millions en une année.
Dix millions en une année constitue l’objectif stratégique, il faut donc passer à l’objectif projet qui consistera à définir le

montant qu’il faut avoir pendant les six premiers mois et celui pour les six derniers mois. En tenant compte de vos capacités d’actions et des variables externes qui pourraient agir sur la réalisation de cet objectif.
Toutefois, la difficulté persiste car six mois c’est aussi un long terme et il convient de décomposer cet objectif projet en objectif intermédiaire.
En pratique il s’agira de définir le montant à réunir en trois mois par exemple.
Enfin, il sera plus judicieux de décomposer cet objectif intermédiaire en objectif opérationnel qui consistera à déterminer le montant à avoir chaque mois.
Donc pour l’objectif stratégique (avoir dix millions) qui s’étend sur une année, c’est-à-dire douze mois, l’exercice consiste à savoir combien nous devrions chercher à obtenir durant les six premiers mois et le même exercice se répète sur les six mois restant.
Chacun devra tenir compte de ses capacités d’actions et des variables externes donc il ne s’agit pas forcément de définir qu’il faudrait avoir cinq millions durant les six premiers mois et cinq millions les six derniers mois alors que nous savons que cela n’est pas forcément faisable dans certains cas.

Il faut juste s’adapter aux fluctuations conformes à sa situation personnelle.
Donc si nous pensons disposer de plus d’énergie et de probabilité de réunir plus, soit six, sept ou huit millions les six premiers mois et qu’il y aura un relâchement vers la fin alors il serait idéal de tenir compte de cela.
Et descendre à nouveau de l’objectif projet pour passer à l’objectif intermédiaire et enfin opérationnaliser.
L’objectif opérationnel définit le schéma quotidien à adopter pour réaliser chaque mois ce qui est prévu.
En réalisant ce qui est prévu pour chaque mois nous sommes certains de réaliser pour le trimestre, et si chaque trimestre est réalisé, nous venons de remplir le semestre. Enfin réalisant chaque semestre, nous accomplissons l’objectif stratégique à savoir pour l’année.
Mais vous devez vous donner le temps en tenant compte de vos capacités, de vos possibilités et surtout tenir compte de votre environnement ou de vos réalités externes.
A chaque situation, n’oubliez jamais : planifier, faire, contrôler et agir. C’est par ce principe que vous serez à mesure d’avancer. Aussi, nous devons toujours rechercher la qualité maximale, donner toujours le meilleur, atteindre le plus haut niveau.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Comment je pense appliquer ces techniques pour mener à bien mes objectifs ?
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………………………………………………………………………………………… Quelles seront les différentes étapes pour réaliser mon objectif cette année ?
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Titre VIII : L’OBJECTIF ET SOI

Parler de l’objectif et soi revient à parler surtout des dispositions spécifiques à adopter ou ce qu’il convient de savoir sur soi-même afin d’utiliser son plein potentiel pour réussir notre objectif.
Pour réussir, très souvent certains parlent du facteur “chance”. En réalité la chance ça se crée. Le thème chance, ça existe naturellement. Toutefois, accomplir un objectif demande nos capacités réelles, nos connaissances. La chance c’est la capacité que nous avons à nous créer des opportunités de réussites, et ces opportunités naissent de notre disposition à les recevoir là où il faut, quand il le faut et comme il le faut.
La chance naît toujours de notre action, ainsi même pour gagner à la loterie il faudra que nous y jouons spécialement ce jour ou durant cette période. Pour ramasser des liasses de billets de banque il faut que nous soyons dehors à cet instant, et que nous soyons sur ce chemin, que notre regard soit affiné, et il faut nous courber pour prendre, ça ne sautera pas pour nous tomber entre les mains. En un mot, la chance naît de certaines dispositions antérieures soit conscientes ou non.

Ainsi, en termes d’objectif, ce que nous pouvons qualifier de chance : c’est d’abord et avant tout le travail ou l’effort déployé ensuite la conviction que ces efforts auront un résultat conséquent. Cela revient à dire que la chance c’est la somme du travail et de la conviction ou encore la foi ou l’optimisme : appelé comme on le veut.
Cette règle nous montre en principe que celui qui croit en son potentiel et en sa capacité d’action pour réussir, atteint toujours ses objectifs.
Développer la confiance en soi nécessite la connaissance, la maîtrise de soi, savoir qui nous sommes, de quoi nous sommes capable ; nos forces, nos faiblesses, les opportunités et les contraintes.

Loin d’être une discipline liée qu’au domaine marketing et commercial, le modèle d’analyse ou de diagnostic “SWOT” des auteurs Learned et Al de l’université Harvard en 1969 (Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces) est une méthode permettant de mieux se connaitre, de savoir ses capacités.
D’abord il nous permet d’identifier clairement nos forces : savoir quelles sont nos capacités par rapport à l’objectif que nous souhaitons réaliser.

Ayant connaissance de nos forces, il nous permet aussi d’identifier nos faiblesses et le niveau ou le degré d’implication. Car les faiblesses sont des limites ou des freins à la réalisation de notre objectif.
Une fois cette activité endogène achevée, le modèle SWOT nous permet de nous projeter et de comprendre des éléments externes qui agissent considérablement sur nous et favorisent ou constituent un frein à la réalisation de l’objectif. Il s’agit des opportunités et des menaces ou contraintes exogènes.
Les opportunités émanent de notre environnement et se présentent à nous chaque jour, il est donc important de les identifier et pouvoir les saisir à chaque occasion. Tous, nous avons des opportunités, mais la difficulté réside dans leur identification et l’appropriation. L’un des freins les plus fréquents face aux opportunités est l’ignorance.
Beaucoup d’entre nous échouons parce que nous n’avons pas connaissance de qui nous sommes, de ce qui est en nous, de ce que nous sommes capable de faire ou de produire, de ce qui s’offre à nous de façon naturelle et à répétition.

Les opportunités se présentent sous formes humaines, matérielles, physiques, financières, psychologique ou même supranaturel (spirituel). Etc.
Enfin, pour mieux nous connaitre il faut savoir les menaces ou les contraintes externes qui nous empêchent de nous réaliser, de réaliser notre objectif. Il faut savoir leur source, leur impact, leur processus et mode de fonctionnement, ne rien négliger, ne jamais nous dire : c’est une petite situation que nous allons régler plus tard. Il faut tout régler, tout de suite et maintenant.
En dehors de l’ignorance, l’une des raisons des échecs répétés c’est la procrastination : la tendance à remettre les choses à plus tard. Aucune situation ne doit être gérée après et avec moins de sérieux. Toutes les situations sont utiles, nécessité donc de de les traiter dans le présent, pendant qu’elles se présentent à nous. Demain appartient à d’autres situations, il y aura d’autres défis à relever.
Mieux se connaître c’est savoir ses forces, ses faiblesses, les opportunités que nous avons et les menaces ou contraintes qui se présentent chaque jour dans la moindre situation de la vie. Il ne faut rien remettre à plus tard au risque de voir nos actions se solder par des échecs.

Outre le principe SWOT, nous disposons d’autres modèles pour mieux nous connaître à savoir la roue de vie de : ANTHONY ROBIBINS (1960), américain, coach en développement personnel, Essayiste.
Ici, il s’agit de déterminer des variables que l’on souhaite évaluer et qui portent sur des aspects de notre vie quotidienne.
Il peut s’agir entre autres de la situation financière, de la situation familiale, de la situation amoureuse, de la relation avec Dieu, de la santé physique, de la santé mentale. Etc.
Il ne s’agit pas de variables fixes. Ils peuvent être remplacés en fonction des objectifs recherchés ou en fonction de la situation que l’on souhaiterait mesurer.
Pour chacune de ces rubriques ou de ces variables, l’exercice consistera à s’attribuer un score dans l’intervalle allant de zéro à dix, que vous aurez disposé de façon circulaire.
Ensuite vous relierez les différents points ou scores de sorte à obtenir une roue.
Remarque :
1 Lorsque la roue obtenue est petite à l’intérieur du cercle de base cela voudrait dire que vous avez bien des efforts à

faire pour développer ou pour améliorer chaque variable d’étude.
2 Lorsque la roue obtenue présente des failles à quelques niveaux, vous aurez donc à mettre en place la stratégie qu’il faut afin de corriger les dysfonctionnements.
Les points pour lesquels vous avez des scores au-delà de cinq sont vos forces que vous utiliserez pour améliorer les faiblesses qui sont des variables dont les scores sont compris entre zéro et cinq.
Le but de cet exercice est de vous découvrir, il est donc impératif de noter des scores objectifs.

Pour chacune des rubriques, n’oubliez surtout pas !
Il faut être très objectif en s’attribuant un score ou une note, de préférable entre 1 et 9. Cela permet de voir

apparaître une roue quelle qu’en soit la forme plutôt qu’un point parce que nous nous serions attribué zéro à tous les niveaux.
Personne n’existe avec des faiblesses à tous les niveaux de la vie sociale. Il y a obligatoirement des forces ou des points forts qu’ils soient apparents ou abstraits.
N’hésitez surtout pas à expérimenter ce test, à le reprendre avec d’autres variables que vous souhaiteriez évaluer. Vous pouvez en cas de nécessité, solliciter l’assistance d’un coach ou d’un spécialiste qui pourra vous aider non seulement à vous évaluer mais aussi à parfaire votre stratégie de réussite.
Pour réussir, il nous faut avoir des objectifs et déployer des stratégies et des plans d’actions. Il faut croire en nos capacités.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Comment devrais-je utiliser mon potentiel pour réaliser mes objectifs ?
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………………………………………………………………………………………… Quelles sont mes forces – mes faiblesses – mes opportunités et les contraintes ?
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Quelles variables je dois développer dans ma roue de vie ? Reproduisez la roue de votre vie juste après les lignes.
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Titre IX : GESTION DU TEMPS ET DES PRIORITES

Nous souhaitons tous réaliser nos objectifs, atteindre un idéal de vie meilleure.
Mais nous exploitons négativement notre temps, notre énergie, notre budget. Etc.
En termes de gestion du temps et des priorités, ce qui est à retenir : ce qui est urgent n’est pas important mais c’est qui est important est urgent.
De façon générale, nous accordons de l’importance aux urgences sans tenir compte de ce qui est véritablement important pour la réalisation de nos différents objectifs. Cela nous conduit sensiblement des pertes inutiles de temps et d’énergie. Il est bien souvent difficile d’établir la différence entre ce qui est important et ce qui est urgent. Cela nous amène alors à éprouver beaucoup de difficultés à réaliser nos projets ou nos objectifs.
Réussir, se réaliser, atteindre un objectif requiert toujours un choix, cela nous exige de définir certaines priorités dans la vie.
Nous devons savoir pour un objectif donné, qu’est-ce qui est important et qu’est-ce qui ne l’est pas, et donc urgent. Prenons deux cas de figures :

1 supposons-nous étudiant, nous disposons de par exemple cinquante euros pour financer l’un des deux besoins :
– Acheter un livre pour les cours qui correspond à ce budget
Ou
– Acheter une paire de basket qui coûte exactement la même somme, pour pouvoir aller aux cours vu que nous n’en disposons pas.
Nous nous trouvons confronté à des cas similaires dans notre quotidien et nous devrions tout le temps opérer un choix. Ce qui est d’ailleurs assez souvent complexe voire impossible pour la plupart selon les cas.
Ici, l’urgence c’est acheter la paire de basket.
Par principe, en accordant du temps ou notre budget à ce qui est important, nous créons de la valeur ajoutée sur le moyen ou le long terme pour pouvoir satisfaire ce qui est urgent. Aussi, nous réalisons toujours notre objectif sur un très court terme.
En achetant la paire de basket, l’étudiant aura de quoi porter aux pieds pour aller aux cours mais il ne saura rien du cours qui est pourtant l’essentiel lui permettant de se réaliser et avoir autant de paires de basket plus tard.

En achetant le livre, immédiatement la situation sera très pénible, l’on recevra même des autres des signes de reconnaissances négatifs, des surnoms pour symboliser notre galère. Toutefois, nous aurons l’information contenue dans le livre qui sera capable de nous transformer, de nous permettre de réaliser notre objectif.
En choisissant le plus important, l’on rencontrera toujours des résistances, des difficultés, des obstacles, du rejet. Etc. Mais cela est important pour la réalisation.

2 Le second cas de figure nous montre toujours que ce que mêmes dans les urgences, l’on commence par le plus important.
Prenons le cas d’un accident de circulation, les personnes une fois amenées aux urgences dans un centre hospitalier, elles ne sont pas toutes prises en charge à la même enseigne ou au même moment. D’abord, les médecins cherchent à s’occuper des patients dont les cas sont plus critiques que d’autres pour les rendre stables au même titre. Cette approche nous démontre qu’il existe l’urgence de l’urgence, c’est ce qui est important.
Ce cas nous montre qu’il est idoine de privilégier ce qui est important.

Pour éviter les pertes de temps et vite réaliser l’objectif il est important de mettre en œuvre de bonnes techniques. En réalité, un bon gestionnaire dispose toujours de temps pour faire ce qu’il a à faire.
Il dispose même de temps pour anticiper sur ses actions et prévoira mêmes les imprévus.
La présente technique peut être utilisée pour mieux gérer ses priorités : la règle 60 – 20 – 20
C’est un principe de management des objectifs qui nous permet à court, moyen et long terme de réaliser chacun de nos projets.
Cette règle nous permet d’éviter les chronophages endogènes et exogènes et de toujours gagner du temps pour mener à bien nos objectifs.
Lorsque nous nous fixons un objectif à réaliser, nous devons allouer 60% de notre temps aux différentes activités planifiées dans le cadre de ce projet.
Nous avons également des activités non planifiées ou qui sont liées à l’objectif que nous n’avons pas pu réaliser, dans tel cas nous accordons 20% de notre temps à ce type d’activités et 20% de notre temps aux imprévus.

En somme, nous avons 60% pour les activités planifiées, 20% pour les activités non planifiées et 20% pour les imprévus.
Cela constitue 100% de notre temps. C’est une technique que nous pouvons appliquer à notre quotidien tant pour gérer notre temps tout comme pour gérer notre budget.
Le même principe est appliqué pour la gestion budgétaire. Soit 60% de notre budget ou ressources aux activités planifiées, 20% pour aux activités non planifiées et 20% aux imprévus.

Exercice :

Qu’est-ce que j’ai retenu ?
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Quelles sont mes priorités dans le cadre mon objectif ?
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Comment je gère mon temps désormais ?
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Comment gérer mon budget pour mieux réaliser mes objectifs ?
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LES PETITES RUBRIQUES FOLLES

1 ” Lire quelques mots dans un dictionnaire est une chose, savoir les employer dans les règles de l’art de la communication et du bon sens des relations en est une autre”

2 ” Tu feras toujours l’unanimité lorsque tu caresses les gens dans le sens de leurs poils ou tu supportes leurs médiocrité”

3 ” Le monde de demain n’a pas besoin de personnes faibles à divers niveaux”

4 ” Il est beaucoup simple de conduire des non-voyants à la bonne destination qu’un groupe de voyants sans objectif”

5 ” Nul et rien n’est important sur terre, c’est nous qui décidons ou non d’accorder de l’importance à quelqu’un ou à quelque chose”

6 ” Si quelqu’un se prend trop la tête, mettez-le aux archives car c’est là sa place”

7 ” Pourquoi se torturer l’esprit alors que la vie est simple ? Tu parles à quelqu’un qui t’ignore, il y a plusieurs milliards de personnes meilleures à plus d’un égard que lui sur terre, au suivant”

8 “Si vous accordez un intérêt particulier à quelqu’un et qu’il vous néglige, c’est juste qu’il est ignorant, résolution il n’y a pas de place pour l’ignorance dans ma vie”

9 “Là où tu es fort, il y a plus fort que toi, là où tu te crois indispensable, il y a plus important que toi, là où tu te crois beau ou belle, il y en a plus que toi, quelle que soit la forme de la marmite, elle aura toujours sa couverture”

10 ” Le problème de l’humanité c’est que certains se croient plus importants, ou plus intelligents que d’autres”

11 ” Vous ne serez jamais amis de tous, sinon vous finirez par sacrifier vos valeurs, vos principes, votre personnalité et votre dignité”

12 ” Celui qui ne crée pas de la place pour vous dans sa vie, dans son temps… retirez-le de votre agenda et la vie belle”

13 ” Vivez et revivez chaque fois ce qui vous rend le plus heureux dans votre vie”

14 ” Ne gâcher pas un seul instant de votre bonheur pour rien ni pour des personnes qui ne vous méritent pas”

15 ” Tu regardes quelqu’un, sans le connaître et tu le juge à son apparence or tu ignores que son potentiel est plus immense que ton univers”

16 ” Tu attends du soutien financier pour réaliser ton projet, et pourtant tu dépenses plus de cinq mille par mois dans la connexion pour les réseaux sociaux rien que pour cliquer ou commenter”

17 ” Tu n’es pas activiste, ni bloggeur, ni influenceur mais tu es sur les réseaux sociaux à perdre ton temps, ton argent, ton énergie et ton intelligence, la réussite ne se construit pas dans les likes, les commentaires et les partages”

18 ” Tu dis personne ne veux t’aider à financer ton projet ou payer tes frais de concours ou autres, toi-même tu as combien” ?

19 ” Il est très facile de croire que celui que nous avons face à nous est ignorant tant que ce dernier garde le silence, attention aux jugements préconçus”

20 ” Tu te crois supérieur aux autres pourtant tu vis sur terre, deviens donc un esprit”

21 ” Dans la vie tant que tu restes enfant on te donnera du lait à boire, mais quand tu deviens grand tu auras de la viande à mander et des os à croquer”

22 ” Un ignorant c’est celui qui ne sait rien, un malheureux c’est celui qui éprouve du confort dans son ignorance”

23 ” Le changement commence lorsque tu donnes un sens et une orientation à ta vie”

24 ” Notre jeunesse espère changer le monde, réussir, se développer, se réaliser mais hélas avec un déficit criant en compétences, en qualifications, en savoirs, en informations, un réveil illusoire, une gangrène évolutive qui affectent indéniablement tous nos systèmes et processus, nous avons du chemin”

25 ” Tu ne veux rien faire, tu es toujours à la maison, trouvant du plaisir à dormir dans le salon des gens pendant que tes amis se débrouillent toi tu fais le paresseux et tu veux voir ta vie changer, la réussite ça se crée”

26 ” Le plus gros sorcier de la jeunesse se trouve en elle- même : procrastination notoire, paraisse ostentatoire, insouciance absolue, suivisme instinctif et grégaire sans raisonnement apodictique, justifiant constamment nos échecs, nos craintes, notre manque d’engagement par des mobiles et prétextes exogènes”

27 ” A renifler le pet de l’effronté l’on vous juge sans nez, très dommageable pour notre humanité”

28 ” Toutes les maladies ne sont pas microbiennes, 70 à 80% de nos maux sont psychosomatiques et proviennent de nos compulsions, des névroses et des psychoses que nous prenons soin de créer par nos habitudes”

29 ” Nourrir son psychisme permet d’avoir une bonne santé mentale et physique mais surtout de ne pas avoir un esprit rachitique”

30 ” Si une aide publique au développement permettait la réalisation alors l’Afrique serait la giga-puissance mondiale de notre ère”

Cet ouvrage s’inscrit dans la rubrique des supports des sciences du développement personnel et social. C’est un guide pratique pour le lecteur qui dispose de schémas spécifiques pour se réaliser et pour s’auto-développer.
Il est plus un outil de travail et de réalisation personnelle qu’un ouvrage de simple lecture.
C’est un outil à avoir et à recommander autour de vous.
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L’AUTEUR

Jean Claude Mandéasso est consultant international, formateur, Coach de vie et de développement.

Il a successivement occupé différents postes avec plusieurs organisations, commercial, chargé de recrutement, Directeur des ressources humaines, consultant RH, Directeur Général puis à ce jour manager général du Centre Africain de Management et de Développement. https://camad.mr

Jean Claude Mandéasso, forme, plusieurs auditeurs à travers le monde et accompagne diverses organisations dans l’élaboration de leurs stratégies et dans leur gestion.

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